test vm
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
-45%
Le deal à ne pas rater :
PC Portable LG Gram 17″ Intel Evo Core i7 32 Go /1 To
1099.99 € 1999.99 €
Voir le deal





L'Omniscient
IRL
INRP
STATS
L'Omniscient
Ceci est un rang
# Sam 27 Aoû - 22:13
Hors rp
Test fiche présentation M9Vegai
Pseudo et pronom : En fait je n'ai pas réellement de pseudo, j'en change toutes les deux secondes
Où as-tu connu VM: Topsite je pense
Double compte : Nein
Connaissez-vous bien une des trois villes du forum ? : Je ne connais de Montréal que le fantasme bête du français qui aimerait s'expatrier au pays du sirop d'érable et des caribous. De Paris, je connais surtout la ligne 4 et 5 de son métro. Enfin, Bruxelles a été une terre d'accueil pendant une année d'études finalement avortée.
Avez-vous un ou plusieurs domaines de connaissances ? : En dessin traditionnel, en écriture, et d'autres trucs un peu fumeux. Je suis plutôt du genre à connaître des détails très précis mais sur des topics de niche qui n'intéressent personne d'autre que moi. J'ai eu ma période true crime et une autre période sur la pop-culture de 60s à 90s. Maintenant, j'ai tout oublié. Sinon, j'aime bien liquider toute une soirée entière à faire du graphisme, et parfois, je mets le nez dans des lignes de codes que je ne referai jamais, juste pour le plaisir de comprendre comment ça fonctionne.
Avez-vous déterminé comment et si votre personnage aura des liens avec ses autres vies ? Je n'y avais pas réfléchi avant de lire cette question huhu. Alors : non. En tout cas, pas pour le moment. Mais je pense que ce serait intéressant !
Une dernière chose à dire ? : J'ai pas honte d'avouer que c'est la présence de "Manu Maton" et sa femme "Bridget" qui ont été les déclencheurs réels de mon inscription sauvage


Berlioz Quang Minh Sinclair
Test fiche présentation NvHEAJC
Surnom : Tout ce qu'il est possible de faire avec Berlioz.
Âge : 19 ans
Nationalité : française
Sexe & genre : masculin
Orientation : curiosité candide auprès des filles ; attraction indéniable envers ces messieurs
Situation conjugale  : n'a pas d'engagement avec qui que ce soit et c'est mieux ainsi
Travail : il tape dans les réserves de papa et maman, n'a pas cherché à faire des études parce que c'était trop chiant
Revenu : papa et maman
Particularités : typé asiatique, 1m57 qui ne grandira plus jamais, paraîtra probablement encore jeune même après quarante ans.
Avatar : Feitan, Hunter x Hunter

Caractère :
▬ bruyant
▬ inventif
▬ égoïste
▬ dynamique
▬ jaloux
▬ amusant
▬ un peu grossier
▬ audacieux
▬ possessif
En Bref

Connaissance des mythes : il ne les connaît pas et s'amuserait probablement à les tacler moralement pour voir si ça aurait un effet particulier. Un peu comme quand on dit oralement qu'on ne croit pas aux fées et qu'il y en a une d'entre elles qui en meurt subitement.

Points importants de l’histoire/chronologie :
18/11/2002 naissance au Vietnam dans la ville de Hô Chi Minh-Ville. Déposé dans un orphelinat.
28/11/2002 adopté dix jours plus tard par une famille française établie à Paris. Ils ramènent le petit en avion.

Les Sinclair sont une famille composée d'enfants adoptés, maman ne pouvant se permettre le luxe d'enfanter par elle-même, les médecins ont dit que c'était trop dangereux. Ils vivent dans un appart serré de la banlieue parisienne miteuse et c'est leur terre-terre, leur repaire. Leur royaume. Ils se pressent à l'intérieur de ces quatre murs effrités avec joie et aiment y faire les pires bêtises. Berlioz est le plus jeune, et sans doute est-ce ce qui a exacerbé son comportement d'enfant roi, d'autant que papa et maman l'ont toujours gâté au-delà du nécessaire.

À 4 ans, il fait ses premiers pas à la maternelle, et c'est clairement un monstre : il est incontrôlable et personne n'arrive à le retenir. Il court partout, crie, agresse ses camarades pour leur voler leur goûter, grimpe sur les grillages et gribouille des grossièretés sur les murs. Ce n'est pas tant qu'il est méchant et capricieux qu'il aime savoir que tout lui appartient et qu'il peut faire ce qu'il veut. Les parents de Berlioz sont des générateurs à nourriture et à argent, de toute façon. On peut ajouter que c'est un enfant infidèle qui aime aller gratter des câlins à n'importe qui, même à ceux qui ne le veulent pas. Il y a toujours eu comme un décalage entre le fait d'être une plante déracinée d'un pays lointain, et d'appeler "papa" et "maman" deux personnes qui ne lui ressemblent pas du tout et qui ne dégagent absolument rien de familier pour lui. C'est en grandissant que cette prise de conscience se fait d'autant plus marquée qu'il se refuse systématiquement à tout aveu d'affection avec ses parents adoptifs, ne se sentant vraisemblablement l'enfant de personne. Au contraire, il teste en permanence les gens plus âgés que lui, attendant de voir qui dans cette masse grouillante mérite d'être appelé papa ou maman.

Jusqu'à sa majorité, Berlioz profitera de son statut d'enfant mineur pour faire un maximum de conneries. Au collège, il rencontre Arthur, un grand échalas blond, coupe au bol et yeux bleus. Plutôt du genre détendu et un peu distrait. Con, disons-le. Berlioz le force à devenir son ami, ce que Arthur accepte. Avec le temps, ils finissent par devenir sérieusement amis, et Berlioz développe pour Arthur un attachement sans demie mesure qui oscille entre âmes frères, amour passionné et jalousie infantile. Vous devez savoir que Berlioz n'a pas de volonté pour les choses qui l'emmerdent profondément. Il ne termine pas le lycée, préférant faire n'importe quoi dans les quartiers ripoux de Paris. Notons que durant son temps libre (c'est-à-dire, tout le temps), une de ses passions est de collectionner les insectes (des libellules, des araignées ou encore des sauterelles) dans sa chambre, et il rêve de pouvoir avoir son propre terrarium pour y observer le développement de ses reptiles préférés. Il aime les animaux que tout le monde déteste et aurait probablement entamé des études d'éthologie s'il ne percevait pas l'école comme la défaite ultime de l'être puissant qu'il est.
Mental et physique
La grande gueule aux mots piquants, tête brûlée qui ne refroidit jamais. Il est rempli d'une énergie furieuse qui le secoue jusqu'au bout des doigts, Berlioz. C'est un garçon qu'on ne peut pas amener dans les lieux où le silence est de mise. On préfère plutôt l'emmener aux arcades ou dans un Burger King, parce que même si ses sourires sont ciselés de dents pointues carnassières, ils sont quand même beaux à voir. Certains hésitent à trop s'attarder dans son regard au gris froid et métallique, parce qu'ils ne savent jamais quand est-ce que ces yeux candides vont devenir moqueurs. Son visage fin se rapporte encore trop à la jeunesse, force les caissiers à lui réclamer la carte d'identité pour acheter le houblon. Démarche dégingandée malgré son 1m57, ses pas n'avancent pas à la même vitesse, on a parfois l'impression qu'il va s'arrêter, alors qu'il ne fait que regarder. Soudain, il peut fondre dans une ruelle écartée, vouloir chasser la souris jusqu'au bout de l'allée. Et lorsqu'il court, il ressemble à un animal sauvage en poursuite, coups de poings qui frappent dans l'air. La chevelure noire mi-longue qui s'ébouriffe sous la brise. De dos, on peut le confondre avec une fille ; ça l'amuse. Sa carrure fine et masculine se dissimule sous les pulls et les manteaux oversize qu'il aime porter ouverts en hiver et fermés pour l'été. Les vêtements amples lui donnent une allure aérienne qui titube en bordure de muret. Caboche à casquettes multicolores, portées à outrance, que ce soit à l'endroit ou à l'envers. Un style vestimentaire tout droit venu des 90s avec leurs couleurs criardes, les tissus moches et les pompes délavées aux lacets rampants. Mais c'est la mode. L'insolence a un prix, et celui de Berlioz ce sont ses genoux écorchés sous la léchouille du goudron à cause d'un 360 flip raté. Il laisse ses blessures ouvertes sécher à l'air libre sans chercher à les panser, à quoi ça sert. N'est pas suffisamment dégourdi pour ressentir de la peur. N'a pas assez de conscience de lui-même pour éprouver le besoin de s'entretenir.

Berlioz, il est le coude nonchalant posé à table. Il est la lumière sous la couette après trois heures du matin. Il est ce cul qui glisse le long de la rampe de métro. Sa façon de scruter l'horizon se partage entre observation et curieux mépris. La truffe plongée dans la sauce des nouilles instantanées. Les babines fardées de sucre et de chocolat au lait. Sous ses airs mesquins se cache un enfant qui veut jouer, jusqu'à en épuiser l'autre. Il est bruyant, Berlioz, trop bruyant. Il court dans les couloirs, frappe ses talons sur le sol carrelé et aime frôler les murs du bout de ses mimines toutes crades. On l'entend venir de loin, et on redoute sa venue comme ceux qui se bouchent les oreilles en sentant la bécane arriver à toute vitesse. Sa voix a ce quelque chose d'erratique et nerveux, entre grave et aigu. On dirait qu'il n'a pas fini de muer, parfois. Le gloussement qui roule au fond de sa gorge s'annonce avant que le rire pointu et cinglant ne vienne. Lui aussi, on le redoute un peu. Parce que c'est sonore, parce que ça blesse ceux qui ont l'ouïe sensible. Et d'un autre côté, on ne veut pas le voir triste Berlioz, ça quand il est triste, c'est encore pire. Il subit une transformation et se change en caprice vivant qui se colle à toutes les peaux, qui draine l'énergie environnante et pèse sur les épaules de ceux qui se perdent à le porter encore. Dans le fond, tout le monde sait que son père et sa mère n'auraient jamais dû le gâter autant. Et d'un autre côté, tout ce que Berlioz manifeste au quotidien ne fait que confirmer la certitude que le négliger aurait été bien pire que tout le reste.  

informations en vrac
Passionné de faune, de cirque, d'arcades, de bonbons qui cassent les dents et de bagarres dans la rue - il aurait probablement fait des études d'éthologie mais l'école ça l'a toujours emmerdé - l'appart où il vit est toujours blindé de monde donc Berlioz a l'habitude de fréquenter du peuple - par extension, il a horreur d'être seul et fera tout pour ne pas l'être - il mord et grimpe sur le dos des gens - inconsciemment amoureux de son meilleur ami qui est trop con pour le comprendre - jaloux, tapageur et belliqueux qui aime que tout lui appartienne - son caractère territorial lui vient de loin, quand il faisait se confronter ses peluches Roi Lion entre elles - ultra présent sur les réseaux sociaux et sur internet de manière générale - et en plus c'est un stalker de première catégorie - il faut le voir comme une boule d'émotions et d'instincts qui, quand elle a une envie, doit l'assouvir sur-le-champ et peu importent les conséquences - en vrai il tient pas bien l'alcool et deux verres lui montent déjà le rouge aux joues - le gamin déguisé n'importe comment dans la file de la Japan Expo ? C'est lui - quand il dort, on a l'impression de voir un ange - grand amateur d'insectes et de toute faune exotique, regrette de ne pas voir plus de lézards ou d'araignées impressionnantes en ville - on peut l'amadouer avec un gâteau ou de la musique bruyante qui ne veut rien dire style électro, house et compagnie - déteste les marques affectives avec ses parents, mais les adore et les recherche auprès de parfaits inconnus - lollipops addict - n'a pas le permis, n'a pas de diplôme, n'a rien du tout - tape dans les économies de ses parents qui lui distribuent tout l'argent qu'il veut, il n'a qu'à esquisser un petit sourire adorable et papa et maman sont à ses pieds - il t'aime mais si tu lui dis non il te défonce - c'était un dealer de cartes Pokémon au primaire - aime les dessins animés, les bandes dessinées, les belles voitures et les trucs que la majorité des mioches sur terre apprécient - il est naïf et tombe dans les pièges les plus cons.

Histoire et vie présente
Quang Minh : Intelligent et droit.

Ses parents biologiques ont misé sur le mauvais cheval.

Quant à ses parents adoptifs, ils se sont dits que c'était un très joli prénom, alors ils l'ont inscrit dans les papiers administratifs du fils comme étant son deuxième matricule, parce que c'est important de garder des traces de son héritage, blablabla.

En réalité, c'est une identité que Berlioz assume moyen.

Il sait qu'il est différent. Il l'a toujours su. On n'a pas eu besoin de lui dire, c'était déjà visible de loin. C'est simplement qu'il a gardé le silence longtemps, Berlioz.

Il n'est pas le genre qu'on apprécie un peu ou qu'on commence à détester.
On l'adore,
ou on le déteste.

Pas de milieu.

Dans le fond, ça l'arrange. Il n'a pas envie de devoir réfléchir à vos intentions. Il sait si vous l'aimez ou si vous ne l'aimez pas. Et il agira en conséquence. À l'école, ils l'ont tous compris. On ne cache rien à Berlioz. Si on le fait, c'est à nos risques et périls. Et en même temps, lui dire la vérité, ça fait peur parce qu'on ne sait pas comment il va réagir. S'il va exploser maintenant tout de suite. Ou s'il ne va rien se passer du tout. On ne sait pas comment se comporter avec lui. Personne ne le sait. Il était adorable hier ? Il sera peut-être atroce et invivable demain.

L'appartement est un nid rempli d'oiseaux de toutes les cultures. Si maman ne pouvait pas générer sa propre progéniture, avec papa elle s'est envolée vers différents horizons pour y chercher des oisillons tombés de leur nid.
Papa et maman ont toujours été très fiers de ça.
Mais ils ne savaient pas que dans leur dernière portée, ils avaient rapporté un vautour avec eux.
Berlioz est le plus jeune d'une ribambelle nombreuse de frères et sœurs. Après dix ans, certains disent qu'ils ont encore l'impression de voir apparaître de nouveaux Sinclair.
C'est juste qu'on a rarement l'occasion de les voir tous ensemble dans la même pièce.
Les oiseaux se sont vite envolés. C'est très petit, l'appartement. Trop.
Berlioz s'est habitué à cet espace millimétré et sale. Aux coins humides, aux angles déformés. Au bois grinçant et à la peinture écaillée. Il se murmure qu'entre les quatre murs de leur habitat se sont déroulées les pires machineries comme les plus beaux éclats de rires.

N'est pas sensible à vos problèmes. N'est pas sensible à votre situation craignos. N'est pas sensible à votre rupture après vingt-huit ans de mariage.
Par contre, la fermeture de son blouson Superdry s'est cassée, et ça, c'est très grave.

Plus tard, il se voit comme étant dresseur de fauves. Il observe minutieusement les dates du cirque itinérant et lorgne avec attention les films animaliers inspirés d'une histoire vraie. Si votre job a un rapport avec la faune, attendez-vous à subir une floppée de questions, et qui n'ont parfois aucun rapport avec les animaux.

Dans la foule, il se cherche un maître auprès de qui apprendre.

Sur les toits de Paname, il respire la pollution à pleins poumons et aime à chercher les rares étoiles qui parviennent à subsister à travers le fog parisien. Papa et maman, ils détestent savoir que leur bébé se promène sur la taule de Paris. Mais Berlioz ne s'est jamais rien cassé, jamais rien fêlé. Ses os ne sont pas plus solides que ceux d'un autre. Mais il y a quelque chose dans ce ciel qui a déclaré que Berlioz ne devait pas crever maintenant.

Alors que ses frangins et frangines se barrent les uns après les autres, lui reste à l'appartement. Il se perd dans le vide qui se crée à travers les pièces de l'étage, hurle quand l'ennuie le prend en tenaille, frappe des pieds sur le mur pour faire s'effondrer les fragments de peinture décollés. Le volume de la télé tourne à plein régime. Du son pour combler le vide. Le vide, le vide, encore le vide ! C'est pour fuir le vide que Berlioz s'échappe dans la nuit à la recherche d'une lumière qui étincelle ou d'une voix qui murmure. C'est pour continuer de jouer encore qu'il s'accroche aux chevilles et les amènent à la lumière de ses fantaisies les plus étranges.



Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum